Le bœuf de Matsusaka occupe la première place du podium des « Sandai Wagyu », les trois marques de bœuf japonais les plus prestigieuses : bœuf de Matsusaka, bœuf de Kobe et bœuf d’Ōmi. Un véritable trésor de la cuisine japonaise.

Des vaches qui reçoivent des massages, boivent de la bière et écoutent de la musique classique. Un mythe qui, jusqu’à il y a quelques années, était vrai. Aujourd’hui, le bétail destiné au bœuf de Matsusaka est toujours exclusivement composé de femelles qui n’ont jamais vêlé. Avant l’âge de 12 mois, elles doivent intégrer l’une des 83 fermes de bœuf de Matsusaka, où elles sont élevées en moyenne pendant 30 à 32 mois — un peu plus longtemps que le bœuf de Kobe.

L’Association du Bœuf de Matsusaka compte un nombre fixe de 450 membres. Akaneya est la première entreprise non japonaise à faire partie de ce réseau exclusif, un jalon qui a rendu possible l’exportation du bœuf de Matsusaka vers l’Europe.